J'ai moi même cherché quelque info et trouvé des sujets ayant peu être un lien avec cette légende ou croyance;
L'homme pongoide:
Découvert en 1968, le cadavre d'un homme velu conservé dans de la glace était exibé sur les champs de foire américains et était probablement originaire du Viêtnam..
Tout le monde connaît cette histoire (popularisée par l'émission des 30 plus Grands Mystères sur Tf1)... Mais peu de gens sont au courant des études approfondies par le maître Heuvelmans sur le cas...
Alors mannequin comme le pense bon nombre d'Américains ? Néanderthalien ? Nouvelle espèce de singe (ou d'homme..?) encore inconnue ?
>>>Vidéo ci dessous:<<<[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]ou alors...
Lhomme-singe du Hubei[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Les Chinois l'appel Yeren (Homme sauvage), l'équivalent du Bigfoot américain. Un groupe de scientifiques et d'explorateurs chinois s'est mis en quête d'une aide internationale pour organiser de nouvelles recherches de cette et ce même si le débat sur son existence dure depuis des décennies.
Ce Yeren, qu'on appelle aussi ailleurs l'abominable homme des neiges, se réfère dans le cas présent à une créature mi-homme mi singe de la Réserve Naturelle de Shennongjia, dans une partie reculée et montagneuse de la province du Hubei, dans le centre de la Chine.
Dans les années 1970 et 1980, les autorités ont organisé trois expéditions de haut niveau pour chercher des signes de l'existence de la créature, sans résultat.
Au vu des larges sommes dépensées pour ces expéditions, le gouvernement a décidé d'y mettre terme, ce qui n'a pas empêché la curiosité de persister tant auprès des experts que la population.
A la suite de cela, l'Association de Recherche de l'Homme Sauvage a été fondée au Hubei, attirant une centaine de membres, dans la recherche du Yeren, dont un certain nombre
de scientifiques et d'experts. Parmi eux, Wang Shancai, âgé de 75 ans, de l'Institut d'Archéologie et du Patrimoine du Hubei et viceprésident de l'association, qui croit fermement en l'existence du Yeren. Il cite :
« Ces trente dernières années, j'ai collecté une grande masse de données ».
En dépit du fait que les expéditions des années 1970 et 1980 n'ont pas trouvé grand chose d'autre que quelques poils, une empreinte de pieds et quelques excréments suspectés d'appartenir au Yeren, il n'y a pas eu la moindre preuve irréfutable de son existence. Mais Wang Shancai n'en démord pas. Il dit que plus de 400 personnes ont déclaré avoir vu le Yeren dans la zone du Shennongjia depuis un siècle. Pour lui,
« C'est une preuve solide ».
Il a reçu le soutien d'un « témoin » local, Zhang Jiahong, éleveur de moutons à Muyu, ville située
dans la réserve naturelle, qui dit avoir vu deux hommes sauvages en septembre 2005.
A quoi ressemblaient donc ces créatures ?
Zhang Jiahong a déclaré lundi qu'ils avaient
« une face velue, des yeux comme des trous noirs, un nez proéminent, leur face ressemblait à la fois à celle d'un homme et à celle d'un singe, ils étaient hirsutes et mesuraient plus de deux mètres ».
Mais pour certains, cela ne tient pas la route. Pour Hu Hongxing, professeur à
l'Université de Wuhan, ces recherches n'ont aucun sens et ne sont pas autre
chose qu'un coup de frime.
La spécialité du professeur Hu, est l'ornithologie ( Etude des oiseaux), et il étudie les animaux de la zone de Shennongjia depuis longtemps déjà. Son raisonnement est le suivant :
« Cet endroit n'est pas compatible avec celui d'un homme-singe. Il y a des critères de base pour juger de son existence ou de sa non-existence, comme par exemple le rassemblement des espèces et la zone de répartition. Il n'y a pas de place pour l'activité d'un homme-singe à Shennongjia ».
Il conclut en soulignant que les expéditions des années 1970 et 1980 ont toutes été des échecs.
Wang Shancai, jamais pris au dépourvu, pense qu'il est normal d'avoir une opinion différente.
« Il y a trente ans, quand nous avons découvert des singes dorés à Shennongjia, certains zoologues disaient que c'était impossible. Et il s'est pourtant avéré que plus de 500 d'entre eux vivaient là », a-t-il conclu.
Au sujet de la nouvelle expédition, il a de nouvelles idées et met l'échec des précédentes recherche, sur le compte de leur nature « non scientifique ».
voilà pour vous